Difficile pour moi de me tenir à un rigoureux travail de mise à jour de ce blog. Preuve en est le temps écoulé depuis le dernier article. Si je souhaite fidéliser des lecteurs il va falloir que je fasse preuve de plus d’assiduité. Mais je ne préfère rien vous promettre cela sera plus simple pour moi.
J’aimerai réagir au dernier commentaire que j’ai reçu en espérant que son auteur repasse par ici sinon cet article aura une pertinence toute relative.
Lorsque j’ai rédigé la précédente page j’avais en tête de faire circuler une idée précise. Et que s’est il passé ? (Suspens…)
Un lecteur en ressort une nouvelle réflexion. Je n’avais pas perçu l’angle sous lequel Bifane (le dit lecteur vous suivez ?) a su appréhender ce que j’avais écrit.
Je l’en remercie donc car il s’agit exactement de ce que je souhaite provoquer ici. Cette personne a su se saisir de ce qu’elle a lu et compris et le partage. C’est cela construire de la réflexion et donc de l’intelligence. Quelque chose de simple…mais sûrement pas futile.
Quand à toi Bifane je n’ai donné qu’un léger aperçu de la singularité de Diogène (mais si, le mec avec le tonneau) qui aurait tout à fait partager ton point de vue.
Une question maintenant (heu on est obligé de répondre ?...) Nous abordons la philosophie au lycée, et, une fois nos cours bien ingérés, nous sortons de là avec notre cerveau qui répète inlassablement « PLATON… » en bavant. Cette discipline a la prétention d’apprendre à réfléchir. Diogène était l’antithèse de Platon et pourtant philosophe reconnu. Mais, l’éducation nationale a fait le choix de nous transmettre une pensée (politiquement plus correct c’est vrai) donc d’orienter notre réflexion. Est-ce un bon moyen d’apprentissage ?
VadrouYeur.